Toujours relever les yeux quand on marche, à vos risques et périls !

Lysandre était face a Aliénor. elle sanglotait a chadues larmes. Cela faisait de la peine a Lysandre,mais ce n'était pasz une excuse pour avoir brutaliser Violette. Mais...Aliénor avait l'air si perdue..c'était peut être pour ça ? Enfin...pour l'instant il devait la calmer.

"Mais qu'est ce que tu raconte ? Elle n'attire pas toute l'attention...tu es jalouse ? C'est ça ? Explique moi mieux..."

A ce moment là Lysandre regrettait de ne pas fin psychologue. Il ne savait pas quoi lui dire pour la consoler. ALors en signe d'amitié, il l'enlaça dans ses bras un bref instant.

Je fixais alors Lysandre, d'un regard voulant dire "Essaye de pas la brusqué.."

Je pensais-je alors: Elle a pas si tord que ça, Aliénor..

En vérité, je pensais un peu comme elle, mais ça personne devait le savoir, mon premier but pour le moment c'était de consoler comme je peut Aliénor, je déteste la voir comme ça,ça me fait du mal.

Je murmurais-je alors doucement.

"Elle a vraiment raison Aliénor, sur ce coup là, elle est timide ou fait sa timide tout le monde est à ses pieds !"

Je répondais-je alors à Aliénor.

"Ignore-la fait comme si elle existé pas, et soit toi même, les gens t'aimeront encore plus c'est tout ce que je peut te conseillée.."

Aliénor venait de s'énerver. Lysandre ne l'avait jamais vue comme ça. Elle avait l'air vraiment déboussolée. Mais Lysandre n'était, cependant pas d'accord avec l'analyse de Caitleline.

"Non, il ne faut pas s'énerver pour ça. T'en prendre a elle ne servira a rien. Tu sais, il faut t'accepter comme tu es. Ca-hacun a ses qualités et ses défauts, tu a les tiennes, et beaucoup de gens tiennent a toi, même si tu ne rend pas compte ! Je pense que tu devrais apprendre a la connaître, et apprendre a te connaitre toi même. Si tu accepte mieux qui tu es au fond de toi, peu importe la personne que c'est, tu te sentira mieux. Certes, je ne suis pas psychologue, mais je pense que ces conseils te seront utiles pour ton développement personnel, non ? N'oublie pas, les gens t'aime ce que pour tu es, et pas pour ce fait."

Après son petit discours, Lysandre afficha un large sourire rassurant. Mais...pendant son monologue, Lysandre avait tilter sur une des paroles d'Aliénor. Déjà, il ne savait pas qu'elle était amoureuse...Et au vu de ses dires, quelqu'un serait amoureux de Violette ? Ca, ça ne plaisait guère a notre beau victorien.

Je fixa Lysandre, il tirait une mine déçu et surprise à la fois.

Je compris alors ! : Il aime Violette aussi.

Mais puis-je t-il se dire que d'autres filles l'aime ?
Je ne pense pas, il était beaucoup trop aveuglé par l'amour qu'il ressentait pour cette Violette, honnêtement ils ont rien à faire ensemble !
Ils sont si.. si différents !
Ils sont tous les deux têtes en l'air, ok !
Mais par exemple, ils lisent pas le même genre de chose je crois !
Elle aime dessiné, lui écrire voilà ils sont différents j'ai raison !
Il faudrait que je joue "la copine" de Violetta, pour essayer d'en savoir plus..
Je ne savais pas pourquoi je voulais faire ça, mais en tout cas j'allais le faire !
J'ai plus de milles tours, dans mon sac..
J'étais plus du tout moi même, à ce moment là..

Lysandre ne comprenait pas les désirs de le jeune fille. Pourquoi voulait elle ne pas être elle même ? Elle avait si peur que ça ? Ce n'était pas bon pour elle de se retenir comme ça.

"Tu sais tu n'est pas obligée de le faire d'un coup, hein ! Fait le petit à petit, progressivement. Et si tu t'inquiète, si tu a peur, n'oublie jamais qu'il y a des gens sur qui tu peux compter. Je peux t'aider si tu veux, mais je veux d'abord que tu me promette de faire des efforts !"

Il sourit a pleines dents. Il espérait de tout coeur qu'Aliénor suivrait des conseils. Il les pensait, et plus que sincèrement.

Le viage de Lysndre se décomposa. Rien. Rien n'avait marcher. Il se sentait inutile. Etait il de si mauvais conseil que cela ? enfin ce n'était pas le plus important maintenant. il reprit un visage sérieux et une voix grave, presque intimidante.

"Je ne t'oblige pas à aimer Violette, on ne peut pas aimer tout le monde. Mais ne t'en prend plus à elle, elle ne t'a rien fait. Et si tu recommence, sache que ça ne me plait pas mais je me verrai dans l'obligation d'agir."

Et il partit, le pas ferme et le visage dur. Enervé, ce qui était rare pour lui. Mais cette fois, il y avait de quoi.

Je le regardais partir.

J'étais courbée, par énervement les poings gonflés.
Je hurlais-je alors "COMMENT PEUT-IL LA DEFENDRE ?!"

Mon regard était plein de colère, de haine.
Violette ? Je la déteste c'est décidé.

Lysandre est énervé car, il n'aime pas qu'on s'attaque à cette.. à cette miséreuse ! [Je le pense pas, c'est pour RPG xD]

Je partis d'un pas rapide en étant folle de colère, j'allais alors dans une salle de classe.

Je fermais la porte, et je m'installa derrière celle-ci et je sortis de mon sac à main la photo de Lysandre.
J'admira sa photo, il était si beau..
Il boude par la faute de cette petite innocente !

J'admiras toujours la photo de Lysandre, j'était dans mes rêves total.

Violette n'eut pas le temps de dire quoique ce soit que Lysandre était déjà parti vers Aliénor. Elle se mordit la lèvre et resta debout, bêtement au centre du couloir. Quelques ricanements filèrent de la aprt des gens qui l'entouraient mais elle décida de les ignorer. Elle prenait doucement l'habitude. Soudain une fille qui murmurait à ses copines dit une chose qui la choqua. Une phrase, contenant "Lysandre" et "Aliénor". Elle ne put s'empêcher de se tourner pour regarder et ce qu'elle vit la figea. Il serrait Aliénor contre lui. Elle serra les dents et empêcha les larmes de déborder de ses yeux. Elle le savait. Elle n'avait aucune chance. Caitline qui était à côté d'eux semblait remontée ce qui choqua la petite. Elle qui était si gentille sur le toît ce matin-là !

Elle ne lâcha pas la scène du regard. Après des paroles échangées, Aliénor ouvrit sa chemise, laissant son soutiens-gorge à découvert. A la vue de Lysandre. Celui-ci n'esquissa aucun mouvement et lui répondit simplement. Mais ça atteint Violette en plein coeur. Elle lâcha sa farde en plein milieu du couloir, se faisant écrasée par des élèves peu attentifs. Elle avait le coeur au bord des lèvres. Sa vue était trop floue pour qu'elle remarque les larmes d'Aliénor ainsi que l'air décomposé du beau victorien. Elle recula, rentra dans un élève et se confondit en excuses, tout en bégayant.

- P-Pardon.. Je.. Excuse moi.. C-C'était accidentel.. Je..

Le dit élève commença à s'énerver sur elle, surement énervé par une quelconque raison, et la bouscula en haussant la voix. Elle trembla comme une feuille et après une longue minute, s'enfuit à la fin du monologue improvisé. Elle laissa derrière elle sa farde, ses amis. Elle voulut laisser la vision de l'enlacement entre Lysandre et Aliénor, et celle où Aliénor dévoilait sa généreuse poitrine aux yeux vairons. Qui ne s'en plaignirent pas un seul instant. C'est les larmes dévalant ses joues rougies et secouée par les sanglots qu'elle partit du couloir.

Dans sa longue marche vers nulle part, Lysandre vit la jolie Violette mal à l'aise, se faire bousculer par tout le monde. Il serra les poing et se dirigea vers elle une fois a sa hauteur il écarta le jeune homme qui lui criait dessus et la prit fermement pas le poignet. Il ramassa sa farde au passage et l'emmena loin de toute cette agitation. Sur le chemin, il marchait vite -surement trop pour les petites jambes fines de Violette- et ne lui jeta pas un seul regard. Ils arrivèrent dans un coin isolé et Lysandre lui lâcha le poignet pour se poster devant elle. Son coeur battait a la chamade. Il ne pensait plus, et pour une fois était spontané. Il lui donna sa farde et abattît ses deux grandes mains fines sur ses propres hanches. Observant Violette, il pouvait voir que celle ci avait pleurer, en effet il restait quelques traces de larmes et ses yeux étaient tout rouge. Il s'inquiéta, comme a son habitude. Il prit une grande inspiration avant de souffler et de dire d'une seule traite:

"Parle-moi ! Dit moi ce qui va pas ? Je te fait peur ? Ce n'est pas la première fois qu'on te brutalise ? Parle Violette bon sang ! Je n'attend que ça ! Je m'inquiète moi ! JE sais plus quoi faire, alors oui, tu es timide, mais ça n'empêche en rien de te confier, non ? Alors, Violette, je t'en conjure, parle moi !"

Une fois le discours fait, le grand victorien planta son regard aux milles couleurs dans celui magnifiquement gris de sa douce. Il avait un air sévère mais tendre.

- J-Je.. Pardon.. Pardon..

Lysandre regardait sa petite Violette. Il ne comprenait pas sa réponse. Ses yeux piquaient et de minuscules perles salés menaçait de rouler le long de ses joues pales. Mais sa fierté masculine le poussait a se retenir devant elle. Malheuresment pour lui, c'était compliquer. Son expression faciale affichait une moue de plus en plus triste. Il avait vraiment envie de pleurer. Pour masquer ses larmes sur le point de couler, il enlaça Violette en enfouissant sa tête dans le cou de sa douce. Il humait son odeur enivrante et profitait sa peau si parfaite a ses yeux. Par pure mégarde laissa couler une larme.

"I-idiote, c'est pas des excuses que je veux...", lui susurra t-il

Son cœur tembourinait dans sa poitrine, il était quasiment sur que Violette le sentait aussi. Il fessera légèrement l'étreinte, continuant de se délecter de la peau si parfaite. Il voulait rester comme ça, a jamais. Malheuresment, il était sur qu'elle allait le repousser. C'était une évidence même, elle ne l'aimait pas. Il devait se faire à cette idée, pour elle il ne sera jamais autre que "le victorien" ou encore "un bon pote". Mais en aucun cas "le garçon dont je rêve".

Je venais de finir les cours, je passais alors dans le couloir rapidement pour déposer mes affaires dans mon casier.

Quand je vu tout un coup, Violette et Lysandre collés l'un à l'autre, je crois qu'ils s'embrassaient de moins c'est ce qu'on peut croire en les voyant de loin.
J'avais un dossier avec des feuilles dessus, je les mis alors en boule par colère, par jalousie.

Il y'avait une poubelle à côté de moi, je jetais alors les papiers en boules dans la poubelle, sans faire exprès la photo de Lysandre tomba parterre, sans que je vu.
Je me disais alors que je devait me reprendre, que après tout je ne le connaissais pas si bien que Violette, et que quoi que je fasses, il aura toujours des sentiments pour elle..

Je sortis alors de mon sac de cours, un postit ainsi qu'un stylo, j'écrivais dessus: "Violette, je dois te parlée je t'attendrais dans la cour à 19h." Je ne signais pas, et je déposais ce postit sur la porte du casier de Violette, je me retourna et je partis alors.

Le beau victorien sentit les douces mains de sa belle serrer finement sa veste. Il frissonnât a ce contact. Il voulait que ce moment dure a jamais, elle et lui, collés l'un à l'autre mais Lysandre desserra doucement à petits pas l'étreinte. Ça lui fendait le cœur de devoir se séparer d'elle, mais quelqu'un risquait de les voir. Et ça, ça pourrait gêner la petite Violette. En plus, si elle s'était rendue compte qu'il avait versé une larme il ne pourrait plus la regarder sans avoir honte ! Il avait sa fierté d'homme aussi.

"je...euh...non c'est a moi de m-m'excuser, je n'aurai peut être pas dit te surprendre comme ça..."

C'est vrai qu'il lui avait sauté dessus sans crier gare. C'était assez rude pour quelqu'un comme lui, mais cette fois, il n'avait trouver que ça. Et au diable celui ou celle qui contestera ! Enfin il n'y a plus qu'à espérer que Violette ne lui administre pas une baffe monumentale. Ça n'était pas dans son style, à la petite Violette, mais il l'avait quand même câliner comme ça sans gêne. Il y en a plus de un que ça pourrait énerver. Mais maintenant que devait il faire ? Rester là planté à se gratter la nuque de gêne. Parler de quelque chose qu'elle aimait bien -le dessin- pour changer de sujet ? Il ne savait pas, mais alors pas du tout. Alors il ne bougeait pas. Le regard détourné et gêné.

Elle fut déçue quand le victorien désserra son étreinte. Elle se sentait si bien dans ses bras ! Son coeur battait la chamade et elle ne put que fixer ses pieds pour tenter de cacher ses rougeurs. Sa main précédemment posée sur la veste du victorien vint se loger contre sa poitrine. Réflexe enfantin une nouvelle fois. Elle voulait retourner se loger dans ses bras, pouvoir ressentir cette étreinte si rassurante. Mais s'il l'avait éloigné, il y avait une raison. Elle n'insista donc pas.

La surprendre ? Ca il l'avait surprise ! Et très agréablement ! On ne peut plus faire plus agréable ! Ses joues prirent une teinte plus vive alors que un très léger sourire se dessinait sur ses lèvres. Oh si il devait s'excuser pour ça.. Ce n'était même pas la peine. Elle avait adoré être nichée contre lui ! C'était tout bonnement agréable de sentir quelqu'un conte soi. Surtout le garçon qu'on aime !

Il se gratta la nuque en regardant ailleurs, visiblement gêné. Et elle alors ? Elle était également très gênée ! Son coeur ne cessait de frapper contre sa poitrine, la faisant devenir plus timide qu'elle ne l'est déjà. Elle tourna les yeux vers son casier et vit un postit dessus. Tiens ? Depuis quand était-il là ? Il intrigua la petite qui ne put faire autrement que de s'en approcher, jetant un regard à Lysandre pour s'assurer qu'il ne s'en aille pas. Elle lut le mot et sentit son coeur s'arrêter. Qui était-ce ? La personne qui avait déchiré ses dessins ? Ou bien est-ce un mot d'une de ses amies ? Elle baissa la tête et ramassa la photo de Lysandre. Elle la regarda fixement puis sursauta en entendant les pas du garçon s'approcher. Vite, une solution !

- J-Je crois que quelqu'un.. T'as pris en photo.. Tiens..

Elle eut un léger pincement au coeur, mais il fallait bien qu'elle lui rende la photo prise en douce, au risque qu'il remarque qu'elle lui appartenait.

Lysandre fut étonnée. Quelqu'un l'a prit en photo ? Mais pourquoi ? C'est assez étrange et surtout pas très rassurant. Il prit la petite photo des mains de Violette et alla la déchirer au dessus d'une poubelle. Il revint vers Violette.

"Je n'ai pas vraiment besoin de photo de moi même, dit il en souriant, je ne suis pas narcissique à ce point !"

Le victorien essayait de détendre l'atmosphère car il avait bien remarquer que sa douce était nerveuse. Depuis qu'elle était aller vers son casier, elle semblait presque apeurée. Il vit le petit bout de papier dans les mains de violette, et le lui prit délicatement.

"Je...je peux le lire ?"

 
- B-Biensûr..